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Il fallait...
Il fallait que je vienne
Que je m'en approche,
Qu'un instant elle soit mienne
Sans peur, ni reproche...
La mer me rappelle encore
Pour me porter secours,
Qu'elle me prenne âme et corps
Sans aucun discours...
Aujourd'hui si furieuse
Le vent dans ses vagues,
Qu'elle se voulait curieuse
Quand elle a pris ma bague...
Il fallait qu'un peu plus je l'aime
Pour lui donner mon coeur,
Qu'elle prenne tout et même
Si se noient mes pleurs...
PARADISALIA
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Commentaires
11G.PolicandLundi 6 Mars 2017 à 11:28C'est bien mieux qu'une bouteille que tu viens d'y laisser flotter, c'est un texte qui émerveille, qui donne envie de s'envoler.
La mer a plus d'un tour dans ses vagues et ressacs ! Elle a même un rôle purificateur ! Bonne journée à toi. Bises. Joëlle
Lui confier se secrets, lui confier ses joies, lui confier ses peines ... puis lui confier ce qui reste d'un temps passé ... regarder l'horizon, là où le ciel rencontre la mer ... construire une nouvelle histoire ...
Très joli ton poème ... très émouvant ...
Bises ...
Y a plus qu'à t'accrocher aux cheveux du vent...
Mes bisousBonsoir Graziella,
L'océan, nous avons ce même amour. Quel merveilleux anti stress, qu'il soit calme ou en colère. Il est toujours beau et son mystère troublant lave mes ombres
Très joli poème
Bisous
Le bruit des vagues, un bienfait pour moi ! C'est apaisant.
Je te souhaite un excellent dimanche. Chez moi, il pleut beaucoup et beaucoup de vent aussi. Bisous, Patricia
5genevieve60Dimanche 5 Mars 2017 à 13:19La mer, quel bien-fait... mais tellement loin de chez moi, un 10 heures de route... Superbe comme toujours, merci pour ce magnifique moment! Bisou, bon dimanche dans la joie et la tendresse!
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Bonjour Paradisalia
J'habite au bord de la mer, mais je ne suis pas très mer. Je n'y ai aucun rivage auquel m'accrocher, ses vagues atteignent des sommets et peuvent engloutir en peu de temps.
J'adore les fleuves...qui alimentent la mer
Bise et bonne journée